« Comme un carré de chocolat !!!! »
« Je sais ce que je veux »
Et ce soir, j’ai rendez-vous avec le soleil, mon soleil du moment c’est… toujours Roland, fidèle au poste pour partir et revenir. C’est un peu ma muse au cours de ce voyage. Surmonter et dépasser ce qui m’a fait tant souffrir et apaiser le passé. Plus que deux numéros à écrire pour finir la saga des douze premiers. Ce soir, je le croquerais bien encore une fois, comme dans un morceau de chocolat.
Même si, en tant que femme je deviens de plus en plus claire sur ce que je souhaite. Et j’y travaille chaque jour, surtout depuis ce 15 août 2019 où Joe Dispenza me montra la formule pour reprogrammer le subconscient (Voyages Intérieurs n° 6).
J’ai posé l’intention claire et précise de surmonter mes dérapages émotionnels, d’apprendre à aimer au-delà de l’ego, de trouver la liberté de penser, de reprendre les rênes et de vivre une relation amoureuse aimante et à double sens.
En fidélité et en intégrité, de préférence. Ce n’est pas ce que propose Roland, alors j’en fais quoi ? Ce soir je croque encore une fois dans le fruit, tant décrié. Comme une aventure, je me suis frottée aux affres de « l’autre femme ». En effet, il vit de temps en temps avec une autre ! Ne cherchant plus à le changer, acceptant ce qu’il propose.
Ne plus être dupe et déjouer les mensonges, le flou. Distille-t-il cette situation volontairement ou malgré lui ? Est-il manipulateur averti ou en quête de je ne sais quoi à se prouver, là n’est plus le problème. La seule chose qui compte, la question pertinente est : quelle histoire je me raconte, me plaît-elle ou me fait-elle souffrir ? Si c’est le cas, à moi d’arrêter le jeu.
Cette page est extraite du magazine Voyages Intérieurs n°11 « Pourquoi est il important que les femmes se relient à leur féminin ? ». Je suis partie en voyage pour trouver les mots qui guérissent… du stress, des addictions, des peurs et tout ce qui nous limite. Le commencement, l’apéritif pour plonger au cœur des méthodes pratiques qui ont changé ma vie, et devenir plus créatrice que victime.
À partir de 44 €/an