Aujourd’hui, finalement on dirait que Ananda, c’est « No stress ! »
Loin de la frustration du « je veux » qui nous emprisonne dans nos désirs de toutes sortes.
Et loin du déni de ce que l’on ressent, qui fait se respecter soi-même, regarder nos désirs, les accueillir et les rendre moins tyranniques, si l’on y arrive. Je sais qu’avec patience, humilité et persévérance dans l’accueil, on y arrive peu à peu.
J’ai pu observer qu’accueillir le fait qu’on est incapable d’accepter permet la détente du système, de notre corps et nos pensées. J’accueille ainsi aussi le « je ne peux pas résister ».
Tant qu’il n’y a pas de culpabilité et que je chemine vers l’amour de moi-même, alors j’expérimente Ananda chaque fois un peu plus !